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 L'Ange Déchu

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Ouranos

Ouranos


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MessageSujet: L'Ange Déchu   L'Ange Déchu Icon_minitimeMar Déc 29, 2020 12:17 pm


Ouranos, après la mission du Retour sur Tetra, avait aperçu la lueur jaune de Usaï sur ses cheveux. Il ne savait pas ce que c’était… Un Super Saiyan ? Certainement oui. En effet, Deikon, un inconnu encore pour Ouranos, est venu vers lui pour l’avertir que la rébellion ne serait pas possible. Pour définitivement lui enlever cette envie de la tête, une petite démonstration de puissance ne fut pas de refus.


Ses cheveux passèrent aux jaunes et alors il se transforma pendant quelques secondes en Super Saiyan tout en déclarant, à la surprise d’Ouranos :

<< Usaï n’est pas le seul Super Saiyan ici. >>

Dans cette configuration, Ouranos eut peur. Cette terreur qui lui venait de la plus profonde des abysses de son cœur froid et sans réelle vie. Il prit alors conscience de l’écart de niveau entre lui et “eux”, les Saiyan ! Il se dit à lui-même, en rentrant dans la salle de l’esprit et du temps passant en mode méditation pour pouvoir se battre contre Frieza, Usaï, Deikon dans sa tête et ainsi progresser… Mais aussi et surtout, démontrer qu’il peut réaliser son rêve ! À travers ce travail de pensée, de méditation, il allait se battre contre tous les adversaires qu’il a affrontés jusque-là. Kiyo… Masashi… Bokcho… Puis Usaï… et enfin Frieza !

J’ai la malchance de ne pas posséder la bonne race. Pourquoi ne suis-je pas de la race des Saiyan ? Cette race aux cheveux noirs serait bien plus appropriée que cette race de mutant que je suis avec sa tolérance amollissante. Si sur terre, Frieza serait mort la face du monde aurait changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence des démons du froid et son produit : Frieza. C’est une chose si fade. Il aurait mieux fallu que les Saiyan triomphent de nous. Cette race récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers qui frôlent la mort une puissance infinie. Animés par un tel esprit, les Démons du Froid n’auraient pas seulement conquis la galaxie… mais le reste de l’Univers également. C’est le manque du … Super Saiyan qui les en a empêché.

Incarnant la beauté alien et la mocheté du cœur, Ouranos figurait parmi les êtres les plus forts qui allaient exister dans cet univers.  Il révéla ses talents à bien des occasions en montrant sa résistance à la douleur, à la fatigue, mais aussi en dévoilant une formidable capacité de régénération hors normes avec ses transformations. Ses ambitions étaient tellement grandes pour sa petite taille que, souvent, il se laissa aller dans un profond désespoir, une profonde folie. Quel que fût le prix, il n'hésitait jamais à remplir son devoir dans un tourbillon de blast et de glace. Son rêve : devenir le nouvel empereur de la galaxie. 

Ce Démon du Froid répond au nom agressif d’Ouranos, le père des Dieux dans la mythologie grec.

Il naquit dans les contrées froides de 79 en des temps troubles. Très vite, il obtient des formes physiques extrêmement puissantes venant de sa race de mutant. Et cela ne l'enchentait pas du tout. Il ne voulait pas que tout dépende uniquement de sa race… Il voulait aussi se servir de sa cervelle. C'est d'ailleurs ce qui va le priver de sa liberté.

Ouranos rêvait de grandeur, mais quand il vit ses compagnons, et leurs puissances. Il a très vite déchanté. Usaï, Deikon, Bokcho et Frieza étaient tous les quatre bien plus puissants que lui et il avait besoin d’utiliser sa stratégie pour avoir une chance… Toute stratégie que ce soit, rien ne vaut la force brute. Il était infiniment moins puissant que ses contemporains.

Un rêve perdu. 

Rêve qui reprendra du sens quand il réussira à s'échapper de justesse après s’être battu pendant des jours pour protéger sa mère patrie. Réfugié dans le vaisseau de Frieza, il commença une vie plus que sauvage accompagné de Usaï, Masashi et… les autres. Il sauvera d'ailleurs le gorille qu’était devenu Masashi pendant une mission. Il agit comme un ami, un rival pour lui. Réveillant ainsi en lui, quelque chose. Quelque chose que son cœur froid n’avait jamais connu. Comme une étincelle dans l’immensité et le vide froid et inactif de l’espace.  Finalement, il resta dans les Frieza Force un long moment tout en s'entraînant afin de faire que son rêve devienne réalité et il y est encore aujourd’hui. Mais plusieurs problèmes se posèrent, il était faible et n’avait pas encore maîtrisé sa forme originelle à nouveau. En effet, après un bataille entre huit de ses soldats et trois mille démons il s’échappa mais blessé. Il n’arrivait plus à contrôler son immense puissance. C'est ainsi qu'il commença un travail sur lui-même pour chasser toute sympathie qu’il avait envers Masashi et Usaï… 

Également, il parvint à maîtriser sa forme originelle au fur et à mesure des missions qui lui avait été donné. 


Pour aller plus loin, Ouranos avait même pris quelques libertés en démontrant sa capacité de réflexion en combat mais il fut vite calmé par Deikon qui lui démontra un dixième de sa puissance... Puis Usaï, lui montrant qu’il était capable d’aller jusqu’à seize milliards d’unités. Mais il démontra assez de volonté et de puissance pour intéresser même le plus grand de chez les Frieza Force : l’Empereur lui-même Frieza, en battant Bokcho en un contre un.  Lui proposant même d'ailleurs un entraînement privé pour lui permettre de devenir assez puissant pour devenir Général de l’Armée ! Sachant qu’il était l’allié de l’Empereur, Ouranos planifiait de le tuer pendant cette année, mais encore une fois l’écart de puissance était bien trop haut. Sa puissance, sa faible puissance même, lui bloquait toute possibilité de s’améliorer. Il a su bien se débrouiller contre l'Empereur, mais l'issu aurait pu lui être fatal... 

Dieu était encore bien trop puissant. 


Le plan de la Frieza Force était néanmoins le suivant : obtenir le Big Gete Star, reconquérir Frieza 79 la mère patrie d’Ouranos et dévorer le fruit de l’Arbre Sacré puis aller se venger sur Terre. C’est précisément à cette dernière étape qu’Ouranos a envie de trahir ses troupes pour faire un coup d’État. Pousser par cette voix en lui qui lui dit de devenir toujours plus grand et fort. C’était sa volonté de puissance.

Dans cette idée, la volonté de puissance désigne un impératif interne d'accroissement de puissance, une loi intime de la volonté exprimée par l'expression « d’être plus » : cet impératif pose alors une alternative pour la Volonté de puissance, devenir plus ou dépérir, mourir. C’était pour le Démon du Froid écarlate une question de vie ou de mort. 

La vie tend à la sensation d'un maximum de puissance, elle est essentiellement l'effort vers plus de puissance. Sa réalité la plus profonde, la plus intime, c'est ce vouloir. La volonté de puissance ne peut se manifester qu'au contact de résistances : elle recherche ce qui lui résiste. La volonté de puissance, c'est l'essence la plus intime de son être.

Mais pour l’instant, Ouranos n’avait pas accompli cette volonté qui le tiraille tant. Cette volonté de devenir plus grand, plus beau, plus puissant, plus omniprésent… Cette voix en lui qui le fait souffrir s’il ne le réalise pas !

PLUTÔT MOURIR QUE DE RESTER LE SOUS-FIFRE D’UN PERDANT !

Une vie d'échec, du début jusqu’à la fin. Et sa vie était déjà de soixante-dix ans. Jeune pour un mutant, vieux pour un être humain. Mais la perception qu’il avait ainsi du temps était totalement différente de la nôtre. Tout semblait ainsi se passer très vite pour lui.

Si quelqu’un dans cet univers écrirait mon histoire, il écrirait sûrement une tragédie. 

C'était la vie que menait Ouranos jusque là. Une simple recrue… Mais il se relevait toujours qu'importe la difficulté de l'épreuve qu'il avait en face de lui. Fait-il le bien ou le mal en voulant se rebeller contre Frieza ? Ironiquement c'est grâce à cette volonté de fer, sa puissance, et sa stratégie qu'il fut approché par Usaï, un Demi-Saiyan qui rêve lui aussi de quelque chose… Zeno sait seulement quel est son rêve. Sa vie en tant qu’officier de Frieza lui suffit-il ? Ouranos pourrait peut-être le faire changer de bord… Ou était-ce encore une fantaisie qu’Ouranos se disait à lui-même pour … garder espoir ?

Pour réussir ma mission… Dieux, j’aurais besoin de vous. De votre puissance…

Dans son exercice mental, en méditation depuis le début de ce texte, Ouranos en appelait au plus Haut. Le Tout-puissant qui n’avait pas réellement d’identité. Appelez-le Zeno, Whis, Nature, Destin, Univers ou encore tout simplement “Dieu”.

Je ne sais même pas pourquoi je fais tout cela. J’ai… tout oublié. Pourquoi ? Pourquoi cette chose en moi me pousse à la rébellion ? Pourquoi me pousse-t-il à viser toujours plus haut, toujours plus grand, toujours plus beau !? Pourquoi me pousse-t-il vers le mal ?! Dieux… répondez-moi. Si vous êtes là répondez-moi !!!



Malheureusement, il ne recevra aucune réponse.

Pour réussir ma mission… J’ai besoin des Dieux… Pour réussir ma mission… J’ai besoin des Dieux… Mais… “Ils” ne me répondent pas. Pourquoi ne me répondent-ils pas ?! … Je sais… J’ai compris. C’est parce que… JE suis Dieu. “Ils” sont moi et je suis eux !

Il serra son poing.

Oui… Pour réussir, je dois me prendre … pour un Dieu. 

Là où Ouranos voulait de plus en plus de puissance pour accomplir son objectif purement par méchanceté, maintenant cela s’éclaircissait un peu plus… La réelle raison c’est qu’il se prenait pour Dieu ! Un Dieu aussi divin que le Diable… Mais ce qu’il ne savait pas encore, c’est que la réalité était tout autre… Frieza était son Dieu et Ouranos était uniquement Lucifer. Et tout le monde sait comment il a fini.

Les Frieza Force comme la tribu des anges tous en accord pour servir leur Dieu représenter par Frieza. Ces anges dont Lucifer, Ouranos, se languissaient pour leur arracher leurs ailes.

La Hiérarchie Céleste ! La triade supérieure est formée d'anges qui ont le privilège de servir Dieu, de l'approcher et de le contempler. Les Séraphins, Chérubins et Trônes personnifient trois dimensions spirituelles immanentes et transcendantes suivant lesquelles se manifeste Dieu pour les Frieza Force : l'amour pour les Séraphins, la raison pour les Chérubins, et la justice pour les Trônes.

Ainsi, Usaï est un Séraphin, Deikon est un Chérubin… et la justice…? Serait-ce Masashi ? Non. Celui qui se bat véritablement pour la justice ici, pour reprendre Frieza 79 par pure nationalisme… C’est moi. Je me bats pour protéger mon peuple et rendre justice ! Malgré que je ne sache qui m'a mit au monde… Je le sais, je suis destiné à surpasser tout !

Tu n’es que Lucifer.

NON ! JE DEVIENDRAI DIEU !

Tu n’es qu’un Fou.

NON ! JE DEVIENDRAI LA DAME, LE ROI !

Tu n’es pas Roi, les Frieza Force sont Roi.



Le monde de la salle de l’esprit et du temps se mit à trembler. Une aura rouge, sombre s’entoura d’Ouranos dans sa forme originelle. Des éclairs rouges et noirs détonnaient à travers toute la pièce. 


Mon histoire se terminera dans une grandeur… une beauté incomparable ! Un feu d’artifice à travers tout l’univers…

Tu n’es que banni du monde de Dieu.

Tous me verront et m’adoreront !

La Chute des Frieza Force. Un Fou qui rêvait de devenir Dame sur l'échiquier.
Ouranos, sais-tu que seuls les pions en sont capables ? Ta chute sera spectaculaire, tel l'Astre Brillant du Matin. Comme le feu d'artifice que tu as promis à Marble lors de ta première mission sur Tetra... Ouranos, le plus sage de tous les anges avant d’être le Diable... Et Dieu confia le soin des hommes et des choses terrestres à des anges. Mais les anges violant cet ordre, eurent commerce avec les femmes et en eurent des enfants qui sont devenus des démons.

J’organiserai cette chute… Et même Frieza… ne sera pas capable de l’arrêter !

Si tu devais comparer les Frieza Force à un échiquier, qui serait le Roi ?

Non pas, Frieza, mais bien les Frieza Force en entier.

C’est la bonne réponse. Es-tu sûr de vouloir continuer ton aventure même si cela te mènerait à ta perte ? Comment Lucifer est-il tombé du ciel, lui qui se levait le matin ? Il s'est brisé et abattu sur la terre, lui qui s'en prenait à toutes les planètes. Mais toi, tu as dit dans ton esprit : Je monterai au ciel, sur les étoiles du ciel je poserai mon trône, je siégerai sur le mont élevé au-dessus des monts élevés qui sont vers Frieza 79 que je nommerais Ouranos 79. Je monterai au-dessus des nuées, je serai semblable au Très Haut. Or maintenant tu as plongé dans la région d'en bas et dans les fondements de la terre. Acceptes-tu quand même ta destinée ?

Je ne pourrais faire sans. Cette envie irrésistible se trouve dans mon cœur. Plutôt mourir que de renoncer à la raison de ma venue dans cet univers ! Les terriens seront mes amis, mes plus fidèles parmi tous les fidèles… Goku… Tu dois la connaître… Lucifer a besoin d’une Lilith… Je me dois de la retrouver, et ensemble, nous vaincrons…

...DIEU !

La salle trembla à nouveau, mais cette fois-ci avec beaucoup plus de violence qu’avant. L’air dans la salle avait atteint les -100 degrés. Autrement dit, quelqu’un qui n’a pas le physique pour rentrer dans la salle se ferait instantanément geler. Cet exercice mental, le faisant se battre contre Frieza mentalement le poussait à bout. Physiquement et mentalement. Il se devait de devenir beaucoup plus fort !  

Mais même s’il était l’élève d’Usaï - voire même de Frieza, et maintenant Pesto qui lui a donné accès à la salle de l’esprit et du temps pour sauver la Terre - pendant longtemps et que toute sa puissance lui permettrait de rattraper son retard…

Cela ne l'aidait pas.

C’est pourquoi il se planifiait de faire une alliance entre lui et les terriens pour les sauver d’une extinction quasi certaine. Goku avait besoin de son aide… Sûrement. Pesto également, c’est pourquoi ils sont parvenus à un compromis. Pesto entraînera Ouranos pendant un temps et lui donnera accès à la salle de l’esprit et du temps afin qu’il devienne assez fort pour être un allié de choix.

Son idéologie brisée, il se laissa faire attaquer par un lasso d’énergie en mission sur Tetra alors qu'un nouvel ennemi encore plus redoutable refaisait surface.
Il se devait de chercher de l’espoir dans son désespoir… Et préparer la Révolte dans le plus grand des secrets. Tel Jean Moulin ou Charles de Gaulle.

Dans les révolutions, il y a deux sortes de gens : ceux qui les font et ceux qui en profitent. Moi je la fait et les terriens en profiteront. La révolution doit apprendre à ne pas prévoir. 

Oui car tout allait se jouer sur le hasard.

Dans tout ce qu'on entreprend, il faut donner les deux tiers à la raison, et l'autre tiers au hasard. Augmentez la première fraction, et vous serez pusillanime. Augmentez la seconde, vous serez téméraire. 

Puis vint encore un autre personnage plus qu'intéressant.

Masashi.

Ce sauvage armé d'une épée magique et parlant bizarrement avec AUCUNE ONCE DE PUTAIN DE RESPECT... n'étaient pas très social. C'était même tout le contraire ! Ce singe n'avait aucune manière, n'hésitant même pas à insulter ses compagnons. Ouranos avait crû comprendre qu’Usaï punissait l’insubordination, mais Masashi aurait bien dû mourir plus de mille fois déjà !

C'est Masashi qui calma ironiquement l'animosité d'Ouranos grâce à ses dons naturels. Et outre les milliards de dispute qu’ils ont eu ensemble, il commençait à s’attacher à lui… Cet ange de basse hiérarchie : un simple Archange.  

C'était son premier ami. Sans même le savoir. Il avait établi un lien avec quelqu’un de plus faible que lui, chose qu’il pensait totalement impossible… Son cœur froid aurait-il été influencé par la rougeur de ses gemmes rouges ? 

Il doutait de lui, de ses croyances, de ses rêves, de la réalité de son père, qui était-il..? Il a vu l'horreur de 79. Il a vu la corruption des Frieza Force et le règne de Frieza. Il a vu la misère.

Mais ce qui l'a fasciné était ce petit être qui, en dehors de tous codes sociaux, arrivait à vivre parfaitement heureux dans un environnement qui pourtant était cerné de mauvaises personnes. Comment un karma si neutre pouvait-il être compatible avec le mal..?

Aujourd'hui il ne doute plus.

Dans ce néant qu'on nomme l’esprit, la conscience : la mort le côtoie. Mais il n'est point effrayé par cela. Mais bien qu'elle vivait de mieux en mieux sa condition de mutant et de recrue inférieur, tout lui disait en lui de devenir plus fort pour accomplir ses objectifs. Ses muscles grandirent, il essayait de passer au-delà de ce qu’il avait actuellement comme transformation. Si une machine était capable de sentir sa puissance, il aurait quelque chose comme QUATRE CENT MILLIONS D’UNITÉS si ce n’est plus, beaucoup plus.


<< Grrrr…. Khhhhhhh…. >>


Son ultime concentration lui permettait de garder le contrôle en étant totalement immobile. S’il bougeait d’un seul mouvement, il serait capable de détruire la salle de l’esprit et du temps et donc d’y être enfermé à vie, mais en plus de ça empêcher Goku et Gohan d’y entrer. Il utilisait d’ailleurs sa télékinésie de paralysie sur LUI-MÊME pour qu’il ne bouge absolument pas d’un seul petit pouce.

Progressivement, il enlevait cette même télékinésie, se faisant de plus en plus au fait de ne pas bouger. Et ce, bien qu'il donnait tout ce qu'il avait.

Mais encore une fois dans son esprit, Deikon lui démontrait point par point pourquoi la meilleure solution pour lui était de tout simplement disparaître... De ne rien tenter, car la puissance entre eux est juste beaucoup trop haute. Qui arriverait à rattraper un tel retard alors que cela ne fait qu’un mois qu’il s’entraîne ??? Brisant alors son rêve, n'ayant aucune répartie. Il s'était alors enfermé sur lui-même, ne se confiant qu’à Usaï en partie. Mais maintenant, il avait son moment de solitude pour repenser réellement à tout cela. Une caverne dans laquelle il était inscrit que personne ne devrait rentrer. Enchaîné à son destin, il laissait la colère l'envahir jusqu'à se rendre très puissant. 

Oui, Ouranos n’a pas eu la vie facile mais il ne l’a pas rendu facile pour beaucoup d’autres non plus. Il porte encore en lui la trahison de ses coéquipiers… Si Usaï apprenait cela, jamais il ne lui ferait totalement confiance. Heureusement, il avait déjà prévu le coup en effaçant toute preuve de son acte dans la mort de ses coéquipiers. Dans son rapport il est même écrit qu’Ouranos s’est vaillamment battu pour protéger les siens et sa planète avant de devoir fuir pour préserver sa vie afin de revenir plus fort sur ordre de Frieza. Et la vie ne l'avait jamais récompensé. Jusqu'à ce qu'il se réveille… complètement soigné et accueilli par un nouveau personnage : Usaï. Encore et toujours lui, oui, l’ultime Séraphin.

Décidé à vouloir prouver sa valeur à Usaï, il accomplit chacune de ses missions en lui montrant son potentiel, notamment de réflexion et de créativité. Il parvint à s’en sortir très bien à chaque fois, prouvant sa loyauté envers lui. Il se devait de recruter des anges dans sa “Chute” des anges.  Il était prêt moralement, spirituellement, mais pas physiquement. 
Il lui manquait du muscle et une maîtrise de son pouvoir… Et peut-être même d’une nouvelle puissance...

En effet, Deikon avait détruit la volonté si forte d’Ouranos qui faisait d'ailleurs son plus grand don… Son moral et sa détermination lui permettaient de vaincre certaines épreuves aisément. Mais depuis que Deikon a pointé du doigt là où ça fait mal - alors qu’Ouranos avait pourtant essayé de ne pas faire d’erreur, et il n’en a pas fait - l’Icejin peinait à se lever tous les jours pour une cause qu’il considérait… perdue. 

Mais un jour changea totalement sa vie.

Il réalisa que même si Frieza s’était fait vaincre, il avait redoublé d’effort pour tenir le niveau. Il allait le faire lui aussi !

IMPOSSIBLE N’EST PAS FRIEZA FORCE !!!

Un mutant changé à jamais par l'inexplicable.

Frieza se revendiquait comme étant l’Empereur de la Galaxie, Roi des Rois. Il ne voulait qu'une seule chose, l'éradication de la Terre, la reprise de 79.  

Ouranos, rien qu'en ressentant sa puissance à travers son esprit, savait à quel point il n'était pas de taille face à lui. Il préféra plutôt alors, continuer à chercher une solution pour qu’il devienne plus fort afin de parvenir à son plan. Deikon avait raison sur tous les points si on part du principe qu’Ouranos seul se ferait désintégrer sur le champ. 

Il existait un moyen.

Selon une personne qu’il ne connaissait plus, il fallait transcender son état de race afin d'obtenir un pouvoir bien supérieur. Cette forme, quasi divine, permettrait de parvenir à ses fins. Mais pour se faire, il devait encore la maîtriser, cette forme. Chose très difficile à faire après ses blessures mortelles.  

Encore faut-il arriver à l'obtenir. 

Le voyage n'était pas facile, autant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'histoire.

Et dans ce monde où plus rien n'a de sens, dans son inconscient, où l'âme d’Ouranos ère dans le rien, il se questionne quelques secondes avant de ressentir une puissante douleur l'envahir.

Il ne voyait rien. Il ne sentait absolument rien. Par contre, il pouvait entendre comme son cœur encore battre. Comme si son enveloppe physique était encore présente avec lui dans son esprit afin de maîtriser une nouvelle forme, une nouvelle transformation.

MAUDIT SUPER SAIYAJIN ! J'AURAIS TANT AIMÉ EN DEVENIR UN ! EN AVOIR LA POSSIBILITÉ !!! Je... JE VEUX ALLER ENCORE PLUS LOIN ! AU-DELÀ DES LIMITES DE MON CORPS D'ICEJIN !!!


Dans cet espace où même l'air est rare, Ouranos devait faire quelque chose pour endiguer le problème à sa source.

Cette divine maîtrise l'entourait et la compressait, menaçant de faire exploser le vaisseau tout entier, comme pour faire disparaître son âme à jamais. La douleur alors ressenti était inimaginable. Ses muscles se contorsionnant dans tous les sens, passant de dix pourcents de sa force en originelle à quatre-vingt dix pourcent en quelques secondes ! Faisant des va et viens de puissance menaçant clairement de tout détruire... Il se poussait à bout.


C'était comme se faire électrocuter par milles éclairs tout en s'étouffant sous un millier de tonnes d'eau. Mais Ouranos cherchait-il réellement à ne pas avoir mal ?

Il n'est pas vrai que l’être vivant recherche le plaisir et fuit la douleur. Le plaisir et la douleur sont des conséquences, des phénomènes concomitants ; ce que veut l’être, ce que veut la moindre parcelle d'un organisme vivant, c'est un accroissement de puissance. Dans l'effort qu'il fait pour le réaliser, le plaisir et la douleur se succèdent ; à cause de cette volonté, il cherche la résistance, il a besoin de quelque chose qui s'oppose à lui… Et Frieza en est le dernier rempart. La volonté de puissance, essence même de la vie, pensée qui se colle très bien à l’histoire que nous chérissons tant, celle de Dragon Ball elle-même et dans sa globalité.

Mais qu'est-ce qui faisait réellement le plus mal ?

Tout ce qu'il a déjà vécu.

Est-ce que les Dieux pensaient vraiment que telle souffrance allait être suffisante pour briser la volonté, la détermination, la beauté de l'âme d’Ouranos !? NON ! AHAHAHAAH ! NON, NON et NON ! 

Et comme il y a quelque temps sur Tetra, il allait se battre. Et dans cette épreuve, il allait se battre pour détruire l'idéologie de Deikon, la peur qui l’avait paralysé et presque fait renoncer à sa tâche. L’une des Tours des Frieza Forces toute puissante, capable d’anéantir une planète en claquant des doigts. Mais surtout, il allait se battre pour elle-même. Pour son rêve, sa fierté et son orgueil. 

Il a besoin de montrer au monde qu'il n'est plus cette petite merde dépendante et abject à la moindre contrariété de la vie ! Non, il en a fini de tout ça.
Fini de se plaindre, il est temps de passer à l'acte.

Il est temps de montrer, qu'une fois de plus son entraînement n'a pas été vain.
Il a besoin de prouver que son histoire n'est pas insignifiante. Mais pas aux autres, à lui-même. Car il est bel et bien le seul à se penser du bon côté.

Quelle est l’émotion la plus primitive des êtres vivants ? dit-il tout en continuant de se battre dans son esprit contre des adversaires très puissants, se revoyant même parfois tuer ses alliés sur Frieza 79, pour le bien de la planète.

Peur. La peur. Ahahahah… Je l’ai apprise à mes dépends !
Là où il y a lumière, il y a ténèbres. Tant qu’il y aura des gagnants, il y aura aussi des perdants. C’est du cause à effet. L’un ne peut pas être séparé de l’autre. Le sang appelle le sang  pendant que la haine attire la haine.
On apprend jamais malgré le nombre de fois où l’on échoue. Les êtres vivants sont des créatures stupides et attristantes. Pourquoi...? Pourquoi…?  Parce qu’on ressent de la douleur, on l’a comprend, et on l’accepte pour vivre. On le sait. C’est pourquoi les êtres vivants sont maudits, condamnés à errer dans le désespoir.
De l’amour naît le sacrifice. Du sacrifice naît la haine...

NON ! Les êtres vivants sont par nature mauvais. Rien de plus naturel même biologiquement parlant ! Ce n'est pas parce que quelqu’un qui a un karma plus horrible que le mien a décidé de nous faire RESSENTIR !


Ces sentiments me poussent vers la mort, mais me poussent aussi à me surpasser. Je dois puiser ma force de mes sentiments… Mais...

...quand les derniers espoirs meurent, on tombe dans le désespoir.
C’est donc de mon désespoir que je deviendrai plus fort !
C’est de mon désespoir que j’arriverai à vaincre !
De mon désespoir, je saurais amusé au moins les Dieux qui nous regardent !
Ceux qui écrivent notre histoire...
Ô Dieux ! J'espère que vous vous amuserez bien à nous regarder ! Que ce soit dans votre boule de cristal ou sur un livre et du papier…
AMUSEZ-VOUS BIEN ! RIEZ !

Et… croyez-en moi. Mon désespoir sera votre plus grande peur.

<< Pourquoi te bats-tu contre moi, pourquoi te rebeller contre ton Dieu ?
Pourquoi faire tout cela en sachant que tu mourras..? >>

Penses-tu vraiment que j’allais abandonner… juste parce que tu es plus fort que moi ?! Je ne me bats pas parce que j’ai envie de gagner… Je me bats parce que…

QUELQU’UN ME DEMANDE DE GAGNER !

Certaines personnes disent que les défaites ont du sens, et que perdre te rend plus fort.
Les Saiyans en sont d’ailleurs la preuve même. Mais comprenez-vous réellement ce que cela veut dire ? Pour les êtres vivants, la victoire c’est la vie… et la défaite c’est la mort.
C’est un exemple extrême mais les êtres vivants possèdent aussi cet instinct. 
Ceux qui connaissent la terreur de la défaite… ont faim de…

VICTOIRE ! Ce goût du sang, cette douleur que je ressens en moi…
Je vais… tuer… LES FRIEZA FORCES ! DU PREMIER JUSQU’AU DERNIER !
JE NE POURRAI JAMAIS TE PARDONNER D’AVOIR PERDU FRIEZA !
JE VAIS TE TUER FRIEZA !!! ET RAMENER LA PAIX DANS L’UNIVERS, FRIEZAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!

Je deviendrai le DIEU de ce monde !

Ramener la paix dans le monde ? Mais qui décide de ce qui est bon et mauvais ? Toi, Ouranos ? Tu serais la réalité ? Comment as-tu appris de cette réalité ? …

En tuant tes camarades. En planifiant de trahir ceux en qui tu pouvais avoir confiance.

Le monde entier est dirigé par des êtres vivants uniquement dans le but de nuire pour augmenter leur puissance. Si tu venais à y faire partie, tu n’échapperais pas à la règle.
C’est la malédiction de ceux qui veulent gouverner un peuple de plus de millions d’habitants.

Tu es capable d'obscurcir la vérité pour arriver à une conclusion qui te convient. Personne n’a jamais vu la réalité de ses yeux, car personne n’a échappé à sa condition d’être vivant qu’importe le grade qu’il avait. Oui, les gens prennent de la valeur en fonction du grade qu’ils ont, c’était l’une de tes premières remarques d’ailleurs. Regarde l’Histoire, que ce soit Frieza ou un autre, c’était toujours une personne qui gouvernait sur les autres, et bien qu’au début il ait encore la tête froide, au fur et à mesure la corruption s’empare de lui pour le faire tomber dans un totalitarisme sans fin.

“Je sauverais les faibles du mal, et deviendrait le Dieu d’un monde auquel tout le monde aspire”, c’est une philosophie de perdant. Il n’y a rien de bienveillant là-dedans.

La réalité du champ de bataille, tu l’as démontré. Un général se doit de commander, pas de ressentir. Ainsi, le sacrifice des pions est nécessaire parfois pour remporter la fameuse victoire. Et c’est uniquement nous, les Dieux, qui choisissons si tu es un pion… ou une dame.

“Je suis un héros de la Justice”, “un monde où je serai le Roi”, ne soit pas absurde. “Être vivant” est le nom qu’on a donné pour les animaux intelligents de cet univers qui ne peuvent pas trouver de la joie autrement qu’en sacrifiant quelque chose. 

Le joli mensonge qu’est l’égalité… est un non-sens déblatéré par des faiblards qui n’ose pas regarder dans les ténèbres de la vie. Ils veulent activer le “EZ MODE” et se cherche donc des excuses. Ce n’est qu’une excuse pour recouvrir la mocheté de la vie !
Ouranos, tu as beau te prendre pour le côté bien, tu restes une mauvaise personne qui cherche à gagner sans effort. Tu incarnes le réel côté sauvage de la nature primaire des êtres vivants, ceux que tu détestes tant.

Tuer les Frieza Force ne te servira à rien. Peut-être que si tu tuais tous les “êtres vivants” de cet univers alors… peut-être… ton vœu se réaliserait.

JE NE PEUX VRAIMENT PAS TE PARDONNER, CONNARD ! COMMENT AS-TU OSÉ PERDRE FACE À UN SAIYAJIN ?!

Au fond, on ne peut pas se faire confiance les uns des autres. Je pense que c’est la plus grande et belle leçon que nous enseigne les Icejin. On ne peut pas se faire confiance.
Quand l’amour relie deux êtres vivants, les deux acceptent que l’autre puisse leur faire du mal. C’est la véritable confiance, accepter que l’autre va nous faire du mal mais continuer d’avancer malgré tout cela. Ne pas abandonner le lien qui vous lie.

Mais si c’est comme ça les êtres vivants regardent le futur, il n’y aura plus aucune chance de gagner. Finalement la victoire n’est que court terme. C’est si vague, “victoire”. Une nation qui gagne peut perdre des centaines d’années après contre le même adversaire.
La victoire perd de sa valeur plus le temps passe.

<< Je dois détruire sa volonté… Sa volonté de se battre… Sa volonté de se relever ! Sa volonté de résister à l’inévitable mort qui l’attend ! >>


Les Démon du Froid sont méchants, les Z Warriors sont gentils ? En êtes-vous si sûr ?

Si la force est justice,  alors est-ce qu’être faible est un crime..?
Je n’ai pas le temps de me concentrer pour savoir si ce que je fais est juste ou faux. Le Paradis ou l’Enfer voilà la seule réponse qui me sera offerte pour le savoir.

Tu ne peux pas espérer d’une tragédie qu’elle finisse avec une fin heureuse.
Ceux qui essayent de s’approcher de Dieu sont les vrais DÉMONS.
L’impuissance face à la vie. Voir un évènement se dérouler et être incapable de faire pause ou de revenir en arrière. Dans la vie, il n’y a pas de point de sauvegarde.

Personne ne réapparaît jamais bien longtemps.

C'est l'heure de la rébellion contre une entité qui n'est nulle autre que le Dieu des Dieux. Les Frieza Force. Véritable force mouvante de la galaxie. 

Moins d’un an.

C'est le temps qu'il dispose pour pouvoir sortir de cet antre en vie avec le moins de séquelles possibles. Son entraînement psychique lui permet de tenir et ses expériences de combat mental lui permettent de garder conscience. De pouvoir réfléchir, se concentrer, faire le vide dans cette souffrance semblant éternelle. Il atteignait les cent millions d’unités certes, mais cela n’était absolument rien comparer à Usaï et Deikon… au moins dix fois plus fort.

Il respirait, sans vraiment expirer. 

Il ressentait, sans vraiment sentir.

CE SENTIMENT EST-IL DESTINÉ À ME FAIRE ÉCHOUER ?!

Ce lieu défiait les lois de la physique les plus basiques. Où est le haut ? Où est le bas ? À droite ? À gauche ? Si une étoile passait, impossible de savoir si c'est l'étoile qui bouge vite ou si c'est Ouranos qui est actuellement en mouvement dans son esprit. 

Bref, l'espace, le temps, la gravité, la matière et même le Ki sont complètement revisités dans cette demeure sombre, froide, horrible mais surtout : changeante. 

Le principe pour aller au-delà, il l’avait compris. Mais d’après ses calculs, même après une telle épreuve, il allait lui falloir mettre en pratique toute la théorie derrière cela. Cela ne suffisait pas de simplement se concentrer et maîtriser son Ki. C’est uniquement la première étape de la maîtrise de sa prochaine forme. Mais dans cette obscurité, Ouranos sentit comme quelque chose…

Des fois, son Ki pouvait aller au dessus des cent pourcent par mégarde.

Qu’est-ce que…? Pourrais-je…? Encore aller plus loin…?

Espoir.

C’est le mot qui permet de désigner le sentiment qu’il a ressenti quand il s’est aperçu que peut-être, il pourrait aller au-dessus de sa forme originelle. Ainsi, cela lui donnait espoir qu’un jour il puisse se battre et vaincre ses ennemis avec de nouveaux alliés.

Pour autant, il ne se décidait pas à absorber en grande quantité le Ki froid qui émanait de lui pour parfaire sa maîtrise et potentiellement… une nouvelle technique en élaboration en méditant. Comme pour s'habituer à cette douleur qu'il tolère et tolérera jusqu'à la fin de l'épreuve. Se remémorant d'ailleurs ses batailles, absolument tout seul face à des milliers de démons. Le futur Ange Déchu se battant contre des Démons, n’est-ce pas tout à fait ironique et hilare ?

Il a fait tout son possible. 

Ou presque... Là est la dure réalité.

Réalité, vérité, justice... Mort.

Tant de sujets sur lesquels Ouranos était en train de penser pour oublier la douleur.
Mais en fait, c'était même pour plus que cela. La clé de cette épreuve personnelle est différente de chacun. Ce n'était pas pour Ouranos de simplement résister pendant une certaine période de temps, non. C'était un moyen de s'affirmer en tant que Démon du Froid avec un grand D.

Le D de Dieu.

Non. Le D de Démon. 

Il n'est plus un gamin. Ou l'était-il ? Déjà plus de soixante dix ans qu'il foule le pied de ce monde, se réveillant chaque jour avec un sentiment de misère et de désespoir.

Cette impuissance… Voilà la source de ma souffrance.

Ce qu'il n'avait pas compris c'était qu'il devait passer de l'autre rive. Malgré les difficultés.
Sa règle, c'était la toute-puissance. Il voulait ceci alors il le ferait. Il voulait cela, il l'aurait aussi. Il se pensait maintenant sans aucune limite. L’Icejin se pensait capable à lui seul de pouvoir régler l'un des plus gros problèmes de cet univers. 

Il se pensait sans aucune limite. 

Il se sentait divinement bon.

Mais la réalité le frappa plus fort que toute claque qu'il aurait put jamais recevoir dans sa vie.
Des limites, il en était pavé de toute part ! Son impuissance, ses peurs et ses doutes sur lui-même et les autres. Cette idéologie idéaliste n'était là en réalité que pour cacher ses plus grands défauts qu'il refusait de voir et d'admettre devant les autres.

Bien que Démon du Froid, il restait un être de sentiment. Il n'est et ne sera pas divin. 
Des erreurs, il en fera. Des limites, il en aura. Et maintenant, il le sait.

Il sait dès à présent et pour le reste de sa vie qu'il ne suffit pas de vouloir quelque chose pour que cette chose se réalise : il faut agir. Vouloir que ce rêve se réalise même s'il est idéaliste. S’il ne fait que de le vouloir, il ne se passera jamais rien.  Il se pensait trop petit pour faire changer les choses, puis il s'est rappelé ô combien il avait tort. Masashi pourra témoigner. 

Ouranos sait de quoi il est capable et ce dont il n'est pas capable après soixante-dix ans d'existence. Il sait maintenant se battre pour ses idéologies, pour lui-même mais aussi et surtout pour sa “voix”. Cette voix qui, sans cesse, lui demande de devenir grand, de ne pas rester petit. De tout voir à l’échelle supérieure ! Il sait qu'il est parfois trop impulsif, qu’il ne réfléchit pas assez, parfois trop, et que c'est pour cela qu'il a souvent besoin d'aide dans ses missions. Il s'en remet aux autres quand cela ne va pas bien ou quand il sent qu'il ne va pas pouvoir réaliser quelque chose tout seul.

Il sait qu'il a quand même un grand semblant d'intelligence mais qu’il marche beaucoup au niveau des sentiments également, malgré qu’il essaye de repousser cette partie de lui-même tel Platon il y a des millénaires. 

Il a accepté son corps et son esprit depuis ce jour. Il assume ses idéaux folle et peut-être fausse, son rêve qui  est moqué par tous car jugé irréalisable. Il a accepté sa force et sa puissance potentielle bien qu’il ait été fait esclave des Frieza Force pour obtenir autant de puissance. Il utilisera même maintenant sa superbe forme originelle à des fins multiples pour obtenir ce qu'il désire : il s'accepte comme il est.

COMME UN DIÉUMON.

Ouranos, à maintes reprises, rêvait de devenir tout-puissant tel un Dieu, mais il ne le voyait pas. Il voulait changer le monde en un claquement de doigt, mais il ne le voyait pas. Enfant, il trouvait cela si simple à réaliser, mais il ne le voyait pas ! Mais les dangers et les obstacles se sont mis face à lui au fur et à mesure des années. Il ne pouvait plus ni faire marche arrière ni faire marche avant sans passer par une étape cruelle.

Devenir un Dém-

DIEU.

C'est ce mur fait de la matière la plus solide du monde qu'Ouranos a dû affronter et devra affronter. Usaï, Deikon… Frieza. Au départ, il ne voulait pas passer par-dessus mais le briser en mille morceaux. Pourtant, il avait beau frapper de toutes ses forces le mur résistait et ses peines restaient dans son être à la tirer dans un gouffre.

C'est d'ailleurs pour cela qu’Ouranos allait toujours plus loin dans ses combats.
À peine avait-il le niveau d'un soldat assez fort qu'il participa à une mission où ses adversaires avaient déjà énormément d'expérience mais aussi et surtout un niveau bien supérieur à ce dernier. Tous ces risques comme le un contre un avec Masashi sous forme de gorille c'était pour dire "je vais vous prouver que je peux aller au-delà".

- Ho, Ho, Ho... N’y a-t-il donc rien qui te fasse peur, Ouranos ? 

- Je suppose… que j’ai peur uniquement des monstres. 

Il y a plein de types de monstres dans cet univers. Des monstres qui ne se montreront pas. Des monstres qui sont causeurs de troubles. Des monstres qui peuvent tuer des enfants. Des monstres qui dévorent des rêves. Des monstres qui sucent le sang. Des monstres qui sont capable de tuer ceux qui croyaient en eux... Et… des monstres qui disent toujours des mensonges. Les monstres qui mentent sont de véritables nuisances, ils sont vraiment plus robustes que les autres monstres.

Si je devais me retrouver face à un tel monstre, je me ferais sûrement manger par ce dernier. Parce qu’en réalité, JE SUIS CE MONSTRE !

Ne croyez jamais trop quelqu’un. Rappelez-vous que le Diable était un Ange autrefois.
La tristesse n’est pas l’absence de bonheur. La vraie tristesse, c’est d’être prisonnier de son désir au point d’oublier de vivre sa vie. Ouranos avait un objectif, devenir assez fort pour même faire peur au pire démon de ce monde. 



Mais la réalité fait bien mal.

Il nous rappelle que nous ne sommes ni Dieu ni Déesse.
Ni le héros de notre monde, ni de personnes. 

La réalité.

La "réalité" réside dans le retour constant de choses égales, connues, apparentées, dans leur caractère logique, dans la croyance qu'ici nous calculons et pouvons la prévoir.
Ce n’est qu’en fonction de notre puissance et de notre volonté de puissance que nous voyons la réalité, ici, subjective. Un paysan n’a pas la même volonté de puissance qu’Ouranos, ils vont donc voir le monde complètement différemment l’un de l’autre.

Mais la réalité, elle, demeure vrai en son essence.

Quand il vit cette abomination, quand il a su qui était le véritable Dieu, sa conception de la "toute-puissance" changea totalement. Non, il ne voulait... il ne pouvait pas accepter cette toute-puissance : il allait remplacer ce Dieu.  Il a alors dû accepter en hurlant, en tempêtant, qu'il ne pouvait plus se glisser derrière son masque, son utopie, pour éviter les problèmes. Il allait falloir les affronter comme il le fait actuellement sans relâche. La réalité, le temps et l'espace sont complètement éclatés dans cette insconcience… Il s’entraîne de manière acharnée, c’est un combat mental et physique. Prenant conscience de son inconscient et de son corps physique. L’équilibre devait être parfait. 

Seul avec lui-même, il avait le temps et l'espace nécessaire pour atteindre ce qu'il veut.

Mais la réalité n'est pas que négative. 

Tel Masashi, bien faiseur, le positif arrive dans la réalité pour Ouranos quand il a découvert ses dons et ses compétences personnelles surtout en matière de maîtrise du Ki où il excelle. Sa race et son potentiel lui ont ouvert les yeux, lui donnant quelque peu espoir dans sa quête. Il a découvert tous ses talents entourés d’une seule et unique personne.

Mais il sait qu'il a encore énormément à apprendre, à découvrir, et il a soif de connaissance ! Il ne terminera pas sa vie ici.  En tout cas, il ne le voulait pas.

Tout cela permet un basculement dans le sens de sa vie, son rêve était toujours le même mais l'approche pour le réaliser allait être différente. Bien sûr, dans son échec, cela à été toujours très dur d'avancer pour lui. D'où l'importance capitale de cette remise en question — et son envie mégalo d’enfin être reconnu — qui a un regard positif sur Ouranos mais le pousse de plus en plus dans la diablerie !

Le but n'était pas de rester comme il était dans cette épreuve pour acquérir sa forme originelle dans l'illusion d'une toute-puissance qui serait octroyé par cette forme divine qui ne l’est même pas d’ailleurs. Mais il voit en cette forme la première clé de la réussite de son plan, ou plutôt de sa genèse. 

C'était une chance.





Dernière édition par Ouranos le Mar Déc 29, 2020 4:07 pm, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: L'Ange Déchu   L'Ange Déchu Icon_minitimeMar Déc 29, 2020 12:48 pm



Je ne peux pas avancer sur le chemin, les lumières se croisent.

Maladroit, je peux entendre le son de sa mort où ce sentiment s'estompe.
Il n'y a aucun moyen de toucher l'intérieur de ma tête.


Quand ce joyau du péché sera-t-il vidé ? Quand le fera-t-il ?
S'il commence à neiger, tu m'oublieras
Quand l'espace éclateras, tu m'oublieras

Ton cœur ne peut pas se souvenir de moi.

Quand ce joyau du péché sera-t-il vidé?
Quand le fera-t-il ?

Quand ce joyau du péché sera-t-il vidé ?
Qui le videra ?


Tremblant, Ouranos était toujours en méditation dans sa salle.
Comme s’il était torturé, ne pouvant pas bouger, lacéré par sa maîtrise.
Quand soudainement, quelqu’un lui toucha la tête. Le combat s’arrêta.

Tout n’était plus que tout noir. Tout était maintenant blanc dans son esprit.
Tout n’était maintenant que froid. Immobile. Gelé.

<< - N-nectari…?

- Ça faisait longtemps, Ouranos. Que se passe-t-il ? Tu es dans un sale état.
C’est grotesque.

- Que fais-tu là ?! Je t’ai envoyé en enfer, Nectari.

- Et n’as-tu pas honte de toi ?! Vivre en obéissant à des instructions c’est quoi ça ? Tu m’avais promis que tu allais prendre la place de Frieza… C’est à cause de lui que je suis morte.

- J’aurais pu préserver ta vie. Je ne te faisais simplement pas confiance, c’est un hasard, un accident. Et maintenant, je m'en sens coupable. 

- Quel ennui. Tu ne te dis jamais “va te faire foutre” ?
Je me demandais si tu étais vraiment aussi déterminé que tu le prétendais être ?
Tout n’est que simple combinaison de situations, il n’y a rien d’un hasard là-dedans !
Je suis morte pour toi, pour ton rêve. Et cela me fait plaisir.

- Pourquoi cette réaction ?! Tu devrais être en colère contre moi ! Je vous ai tous trahis !

- Sais-tu qui est la personne qui fabrique cette situation ? Qui cela peut bien être ? … C’EST TOI !
Toutes les pertes du monde sont la faute du manque de compétences de chacun. C’est exact n’est-ce pas ?  Nectari se rapprocha d’Ouranos, immobilisé. Et puis, tout a commencé parce que tu es naïf et mégalomane. De la race de Frieza ! Comme tu es un Icejin, tu t'es trompé, tu t’ai fait charcuté et te fera charcuté ! Tout est de ta faute. Si tu avais été plus fort, tu n’aurais pas eu à nous sacrifier, tous les huit.

Des ombres apparurent, sept silhouettes sombres dans l'étendue blanche de cette pièce imaginaire en plus de celle de Nectari… Ils étaient neuf en tout. Tous de retour.

- C’est la vie que tu as choisi, le futur que tu as choisi. Pourquoi cela t’afflige-t-il autant ? Pourquoi caches-tu ton cri de haine et de rage ? Tu as choisi de blesser, de conquérir, de TRAHIR, non ? J’admire ta méchanceté, Ouranos. Mais tu as l’air de vouloir être à la fois gentil tout en étant méchant et donc de renoncer aux deux. Tu justifies ta trahison sous le prétexte que tu seras un meilleur empereur... Ni gentil ni méchant...
Maintenant que tu as réalisé à quel point tu ne pourrais pas te rebeller - et Deikon te l’a bien fait comprendre - acceptes-tu..?


- Les motifs de la rébellion est un refus de se prosterner devant Frieza et l'aboutissement d'un éloignement progressif des Frieza Forces à travers le libre arbitre. Pour cela... Je veux devenir plus fort.

- Aux dépens de Usaï ?

- Aux dépens de Usaï !

- Même s’il faut trahir ?

- Même s’il faut trahir !

- Même s’il fallait prendre la vie de tes amis ?

- Même s’il fallait les tuer !

- Même s’il fallait mourir ?

- Même s’il faut MOURIR !



- As-tu la force nécessaire ?

- Oui…

- Cela veut dire que tu m’acceptes ?

- Non… Ce n’est pas ça.

Ouranos bougea, mettant à terre Nectari et l’immobilisant.
Il avait réussi à bouger physiquement sans pour autant détruire la salle. 

- Il me suffit de te dépasser.

- Même si c’est un choix erroné ? 

- Même si c’est un choix erroné.

- Alors… Si tu l’acceptes pleinement. C’est bien, Ouranos. Je suis fière de toi. Par conséquent, je pense qu’on se reverra bientôt.


Ouranos se concentra... Et pensa à ce qu'il était. Depuis toujours il détestait ce qu'il était, une boule de haine, de pouvoir. Il n'a jamais voulu être comme ça, mais il est né ainsi...

À présent, c'est différent... Il avait enfin accepté le Diable qui était en lui.


- Je suis… un Démon du Froid. >>

Nectari disparu lentement… Puis Ouranos se retrouva de nouveau sur 79, c’était la veille de l’attaque des Démons. Il regardait simplement les étoiles…

- C’est beau n’est-ce pas ?

- C’est vrai, c’est beau. C’est grand, donc c’est beau.

- Tu sais que tu es très grand ?

- C’est une blague j’espère ? Étant dans sa forme de réduction, il faisait un mètre soixante.

- Non, non. Moi je le vois. Tu es très grand. Sinon tu ne pourrais pas être aussi beau.

- Hmpf… Que de compliments… Nectari. Tu ne devrais pas, tu sais très bien que-

- Chuuut… Laisse-moi partager ce moment avec toi. Laisse-moi cette nuit avec toi. Laisse-moi rêver encore un peu… Laisse-moi croire… et espérer.

Le rêve se dissipa rapidement tandis qu’Ouranos revenait lentement à la réalité. Il continuait de penser, et dans le flot interminable et infini de ses pensées on pu entendre cela :

Jusque dans mes côtes, une vieille amie regarde.
Les espoirs entrelacés dont nous avions soif.
Et le karma qui nous mord et nous ronge.
 
Je n'étais pas assez bien tout seul.
Alors nous avons cherché tous les deux une réponse.
 
Les pensées qui nous connectent, et même les intentions de nos expressions La tangibilité qu'ils nous ont donnés ... ah, mais c'est toujours un meurtre. "C'est comme si je n'étais pas assez bon".
 
Les bras qui ont lutté même si je continuais à aspirer, même si je continuais à donner... La seule chose qui me pousserait est le vide et cette voix qui ne cesse de me dire de sombrer dans le chaos et le mal. 
 
Sur mes côtes, je respire.
Fais de beaux rêves, désespérée fugitive...
Karma qui nous mord et nous ronge si la nuit qui mord et me ronge vient.
 
Le monde a soif et nous avons continué à avoir soif de sang. 
Pour nous donner la force de continuer, car c'est ce qu'on est.
 
Les terriens, les frieza forces et même les cieux écarlates
L'adoration qu'on leur a donnée ... ah, mais il y a encore plus
Sont-ce les mêmes que le cadavre que vous venez de couper ?
Avez-vous trouvé la réponse ? "C'est comme si je n'étais pas assez bon !"
 
Je ne passerai pas même si je continuais à aspirer, même si je continuais à donner... Même notre amour s'amincirait, n'est-ce pas ?
 
Je recommencerai la vie avec toi.
Nous nous souviendrons de ces jours gloutons.
Nous répondrons aux questions et déborderons de faim.
Ces réponses me piqueront.
Mais même ainsi, traîne mon corps et mon esprit.
Parce que je veux les trouver avec toi.
La route est longue, mais ce n'est pas grave...
Rions et buvons de ce monde assoiffé... de sang !
 
Les bras qui ont lutté, même si je continuais à aspirer, même si je continuais à donner... La seule chose qui me pousse est le vide.


Parce que je t'aime.
 
Fais de moi un MONSTRE, tu me rembourseras, même dans l'autre monde. Je n'ai pas besoin de représailles, transforme-moi juste en monstre. Tout sauf l'ombre de ce que j'étais. 
 
Je vais devenir fou, mais autant que je perde la tête, pour ne pas me rendre compte de mon erreur.
 

Je n'ai pas besoin de représailles, transforme-moi juste en monstre. Tout sauf l'ombre de ce que j'étais...



L'Ange Déchu Ourano24

Ouranos sortit enfin de son esprit… Il se releva, sa nouvelle forme atteinte et pour l’instant stable. Et au-delà de ça, c’était une toute nouvelle forme qu’il avait acquise. Sa première forme d’augmentation. Il observait ses muscles et sa nouvelle puissance acquise… Ce n’était pas comme contre les trois mille démons… Il était encore bien plus puissant que cela. Il avait enfin, finalement, atteint un stade qu'il n'avait encore jamais atteint.

Bougeant, volant à travers la pièce. Il se déplaçait lentement, veillant à ne pas trop faire le fou avec cette forme qu’il n’avait alors jamais utilisé de toute sa vie. Il se posa au sol alors que des éclairs se formaient autour de lui. La salle était devenue encore plus froide, frôlant le Zéro Absolu. Il était maintenant temps de développer une nouvelle technique, celle qui irait avec cette nouvelle forme !

Absolute Telekinesis…

Ouranos semblait planifier une technique qui allait être encore au-dessus de sa télékinésie actuelle. Pour rappel, sa télékinésie lui permet de faire bouger des objets dont des rochers ou encore des gens. Il est aussi capable d’attaquer les organes vitaux de ses adversaires avec la télékinésie. Maintenant, il veut pousser le délire plus loin pour améliorer toutes les précédentes capacités tout en ajoutant une nouvelle… Celle de se soigner.

Ouranos se frappa alors dans le bide avec son poing, s’ouvrant le ventre et se faisant donc extrêmement mal. Mais sa transformation l’avait déjà fait endurer de grosses douleurs, il n’allait ressentir la véritable douleur que bien plus tard au repos… sauf s’il se soigne.

Utilisant ses pouvoirs de télékinésie sur lui-même, il allait essayer de soigner tout en refermant ses plaies. En effet, c’était de la magie de soin tout ce qu’il y a de plus basique, mais couplé avec cette nouvelle puissance, il était maintenant capable de se régénérer en échange de puissance magique. Après s’être soigné avec succès, Ouranos appuya délicatement sur un bouton d’un sac qu’il avait ramené avec lui. Cela permettant de faire apparaître plein de robots sur le terrain.

Ces derniers avaient pour but de neutraliser Ouranos. Ils envoyèrent des rayons de Ki à une vitesse volle, boule qui rebondirent sur les robots à chaque fois qu’Ouranos les esquivait. Comme un flipper, il se devait de rester tout le temps en concentration. C’était le parfait exercice pour apprendre à contrôler sa puissance maximale. Plus les balles rebondissaient, plus elles allaient vite. Il n’arrivait bientôt plus à suivre.

S’arrêtant au milieu de la salle, toutes les orbes se ruèrent sur lui, le condamnant par tous les côtés. Mais lui, se concentrant sur sa télékinésie, il prit le contrôle de toutes les sphères qui pourtant allaient vers lui à très grande vitesse.

<< C’est donc ça… le retour à l’envoyeur ! >>

Il renvoya donc les attaques sur les robots qui sont censées pouvoir les faire ricocher…
Mais pas cette fois. Cette technique lui permettait de les renvoyer en utilisant la force centrifuge de la gravité. L’attaque était donc légèrement plus puissante. Néanmoins, il y avait des limites à cette technique…

Je ne peux pas l’utiliser comme je le veux… Si l’ennemi est deux fois plus fort que moi, je doute que je sois capable de lui renvoyer l’attaque… 


Avec cette technique, il pourrait sûrement déplacer des objets de la taille d’astéroïde, ou encore arrêter une personne dans les airs simplement avec sa main comme le ferait Frieza. Il avait poussé sa maîtrise de la gravité, et donc de la magie, à un très bon niveau.
Mais ce n’était toujours pas suffisant. Il avait effectivement créer une nouvelle technique, mais il se devait également de la maîtriser, elle et la forme qui va avec.

Ainsi, il fit apparaître un autre robot. Un machine qui est capable de très bien esquiver les coups et les résister. Bref, c’est un sac de sable premium sur patte ! Ouranos s’entraîna alors pendant des heures à frapper ce robot, à le pourchasser dans la pièce tout en faisant trembler une bonne partie du vaisseau… Il frappait de ses poings, de ses jambes, de sa tête et de sa queue tout en profondeur, ne laissant aucune possibilité de fuite à son adversaire et arrivant même à l’immobiliser pour le frapper en prenant bien tout son temps.


Cette nouvelle attaque de Ki mélangé à de la magie… C’était…

<< ABSOLUTE BURST ! >> 

L'Ange Déchu Hzkai11



Cette technique permet de donner des dégâts magiques considérables. Elle est inspirée de la Dragon Wave de Masashi et permet de faire des dégâts en profondeur. Si la Résistance magique de l’adversaire est faible, cette technique peut permettre de neutraliser des ennemis bien plus puissant que soit. Elle passe effectivement à travers l’armure de la personne pour l’attaquer directement de manière brute… Le Robot qui était pourtant ultra résistant n’arriva pas à contenir la puissance de ce coup et finit en rondelle.

<< Tas de conserve… >>

Grâce à tous ses entraînements, il se faisait de mieux à sa nouvelle forme… Jusqu’à un accident. En effet, sa puissance augmenta d’un coup sans qu’il ne puisse rien y faire ! Un mouvement de trop… et c’était peut-être toute la salle qui explosait.  Il dût alors fermer les yeux et se concentrer à nouveau. 

Mais... cela allait être plus dur qu'il n'y parait.



Dernière édition par Ouranos le Mar Déc 29, 2020 4:34 pm, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: L'Ange Déchu   L'Ange Déchu Icon_minitimeMar Déc 29, 2020 2:43 pm


À peine il essayait de faire sortir son ki de son corps que nop, le Ki et sa propre magie exerçaient une énorme pression sur son corps et l'empêchaient de les faire sortir. Il avait besoin de l’absorber, de le réprimer pour pouvoir ainsi calmer la puissance qui est en lui. Et c’était quelque chose de très difficile mais aussi douloureux à faire.

<< Putain… Je ne vais pas crever comme ça quand même !!! >>

Des veines sortaient des muscles d’Ouranos tant la souffrance était insoutenable... 

Au tout début, il était sur le point d'abandonner et de se laisser aller à la mort. Mais "abandonner" n'était pas dans le vocabulaire d’Ouranos ni celui des Frieza Force, ou plutôt il ne l’était plus. Jamais de sa vie il n'a reculé face à un de ses adversaires, où face à un des objectifs qu'il voulait vraiment atteindre... Il était prêt à tout. Pour son rêve, pour l’Univers, pour Nectari... Cette douleur mentale lui rappelait les moments horribles de son enfance en rapport avec son père. Des choses qu’il lui avait fait endurer… Mais il était incapable de se rappeler précisement ni de l’identité de son père ni des origines de ces souffrances. Il avait résisté ces fois là... Alors pourquoi pas une fois de plus ?! Sa détermination était revenue de plus belle. Jamais il n'avait été aussi proche de son objectif final, et c'est pour cela que le Démon du Froid continua d'assimiler cette forme, pour se calmer et regagner le contrôle sur lui. Faisant fi de toutes les douleurs qui pouvaient l'atteindre, et ce, même si elles durent pendant longtemps.

<< GAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!! >>

Ouranos commença alors à se transformer… en véritable monstre. Sa taille augmenta pour atteindre facilement huit mètres de haut. Son crâne s’allongea comme ses bras et ses jambes. Des cornes poussèrent au niveau de sa tête au nombre de sept.


L'Ange Déchu Ourano26

C’était sa forme d’augmentation numéro trois… Beaucoup plus puissante certes, mais pas encore contrôlable pour Ouranos qui n’était encore pas assez habitué à cette nouvelle étape de son être ! Si jamais il ne maîtrisait plus sa puissance, il risquait de faire sauter la salle et y rester emprisonner à jamais ! C’est à ce moment précis qu’il ressentit la mort en son être comme il ne l’avait jamais senti de toute sa vie.

Loin mais pourtant si proche : la mort.

À chaque instant de notre vie, elle peut frapper. Que ce soit par son laser ou par ses poings. Nous devons l'accepter, que les choses se font ainsi. Mais aussi et surtout, que celle-ci est plus forte que toute chose et donne du sens au mot "vivre". 

Et sans surprise, Ouranos a parfaitement assimilé cette doctrine avec l’expérience qu’elle vient d’avoir avec lui-même. Il avait accepté, assumé sa responsabilité et son choix de vie.

On ne compte d'ailleurs plus le nombre de fois où il a frôlé la mort par son arrogance ou son orgueil. Ainsi, il restait, reste et restera libre dans sa tête et ceci est le plus important.
Il désirait réaliser son rêve, qu’importe le prix à payer pour se faire.

L’Icejin s’enragea, faisant trembler tout le vaisseau. Mettant maintenant tout le monde au courant de sa présence. Il voulait dépasser la centaine de millions d'unités dans sa forme de réduction primaire et pour cela il allait devoir réussir ! Il ne pouvait pas mourir ici !

L’air devenait si froid, que même Ouranos commençait à geler sur place !

Il se devait de revenir à la normale, de briser ses chaînes qui le réprimandaient et qui le faisaient tant souffrir. Cette souffrance, elle réveillait également sa blessure de quand il était contre trois mille démons ! Et c’est avec la haine, oui la haine qu’il sortira de cette position indélicate.

Après un silence de quelques minutes où Ouranos ne fit que de se calmer en fermant les yeux, énervé comme jamais, la glace qui recouvrait le jeune démon du givre se brisa petit à petit, tandis que de l'aura rouge entourait son corps qui était revenu à la normale. Il semblerait qu'il se faisait petit à petit à l'utilisation de son Ki et de sa magie, sans même le savoir... Le Red-Frieza se retourna alors, étonné de voir qu’il progressait aussi vite. Mais tout n’était pas encore gagné, il était à ça de survivre à cette période de crise quand…

Père, me retrouverez-vous un jour ?

- Un jour effectivement, je reviendrais si je n'ai pas échoué. Si jamais je tarde trop, pourquoi n'essayerais-tu pas toi aussi ? Mais attends d'être à ton maximum... Car l'endroit où je vais, n'est pas fait pour les vivants !
À bientôt, FROZA !


Le Démon du Froid ne comprenait pas…

Fro..za ? Qui est-il ? Est-ce que ce serait mon nom ? Qui m’a parlé ? Je reconnais vaguement la voix mais impossible de me rappeler de cette personne !

Il n’avait pas le temps de se perdre dans des souvenirs lointains du passé… Mais il se fit quand même à l’idée qu’il lui manquait quelque chose sur son passé. Quelque chose de très important à propos de sa famille…

Je ne m’appelle pas “Cold” d’ailleurs… C’est étrange… non ?
Je ne sais pas… Frieza… Peut-être que Frieza pourrait m’en dire plus.


L’Ouranos du présent tiqua un instant, c’était, pour lui, la première fois que dans ses flashback il se faisait appeler "Froza"... C'était une sensation bizarre, car le Démon du Froid avait logiquement l’habitude de s’appeler Ouranos… D'ailleurs, cette épreuve dont cet inconnu parlait… C'était celle qu’Ouranos réalisait actuellement, et qui le faisait souffrir de plus en plus… Il ferma alors les yeux, avant d'être, encore une fois, transporté dans un autre endroit…

Finalement, il vit alors le dernier passage important qui marquait un événement tout récent. Cette fois-ci, le cœur du Démon du Froid battait de plus en plus fort. Puis… plus rien.

Le néant.

<< Cette fois-ci je vais m’en rappeler ! Je vais m’en rappeler ! >>

Mais tel un rêve, il avait déjà oublié ce qu’il venait d’apercevoir. 

Puis… Tout se stoppa net. 

Ouranos était finalement seul, de retour dans cet endroit lugubre où il n'y avait rien. Toujours une douleur insoutenable, toujours pas la possibilité de bouger… Le Démon du Froid était comme de retour à la case départ. Il remarqua quand même en utilisant son Ki, qu’il était bientôt au bout de son effort. Encore un petit peu et il allait finir de maîtriser ce fâcheux évènement. Mais il s’arrêta, ne valait-il pas mieux mourir maintenant ? 

Voulait-il réellement gouverner le monde ?

Voulait-il réellement de cette puissance ?

Est-ce qu'il faisait fausse route ?

Tant de questions qui ne trouvèrent quasiment aucune réponse…

Vous y croyez encore, VOUS qui lisez ces mots ?

Non.

La réponse était toute trouvée.

BIEN SÛR QU’IL VEUT GOUVERNER LE MONDE !
BIEN ENTENDU QU’IL VEUT DE CETTE PUISSANCE !
BIEN ÉVIDEMMENT QU’IL FAISAIT FAUSSE ROUTE !

Et il assumait totalement, maintenant et après, il le fera. Qu’importe l'issue du combat, de la bataille. Que la victoire soit au bout de la carotte, ou non. Il ira.

Après quelques réflexions avec lui-même, Ouranos se décida de s'accaparer cette crise et de voir par la suite ce qu'il compte faire… Ses idées étaient plus sûres qu'auparavant, mais une chose est certaine, sa haine est toujours présente et est même amplifiée. Et dans un Ultime Effort, Ouranos trouva la solution pour sortir de crise… Laisser sa volonté de puissance s’exprimer ! Et c’est alors que tout se calma…

Quand soudainement, une sorte d'explosion assez violente eut lieu. Si violente que le corps d’Ouranos semblait sur le point d'exploser, tant la puissance de cette forme le déchirait de l'intérieur… Il rassembla alors toutes ses forces pour aller chercher cette forme qu’il avait entrevu… Cette forme qu’il avait senti en lui, cet espoir ! La dernière étape de cette épreuve était de garder le Ki en lui, de le maîtriser, puis de l’appliquer au-delà de ce qu’il a pu avoir jusque-là ! Sa douleur mentale reprit de plus en plus, faisant voir les mêmes horreurs que précédemment… Mais son esprit lui disait de ne pas flancher. Bien que très amoché, son mental était toujours prêt à accomplir sa quête de départ, remporter cette aura et réussir cette maudite épreuve !

C'est alors que toutes les cellules du corps d’Ouranos se synchronisèrent, son attaque, sa défense, sa magie, sa résistance magique, sa vitesse et enfin, son intelligence. Toutes ses compétences venaient se s'activer en même temps, arrachant un cri de douleur de la gorge du nouvel être du froid. Puis, finalement, tout se dissipa pour lui laisser une aura rougeâtres autour de lui.... Et un nouveau corps, pour une nouvelle transformation.


Cette forme rendait le Démon du Froid incroyablement puissant, plus puissant qu'il n'a jamais été. Des millions et des millions d’unités sûrement. Après cet entraînement il avait acquis deux techniques qui l’aideront sûrement beaucoup par la suite et aussi deux nouvelles formes. Sa forme d’augmentation et celle d’augmentation à cent pourcent de sa puissance. Un entre-deux entre le Démon Monstrueux du Froid et le Guerrier Alien surpuissant. Ce parfait échange de puissance lui permettait d’atteindre une puissance énorme, enfin il pouvait apercevoir le milliard de puissance… Mais c’était toujours insuffisant, heureusement la magie qu’il possède est un avantage que Usaï n’aura pas et cela change toute l’affaire !

Après tout ce qu'il s'est passé durant cette vie, Ouranos choisit le pouvoir de la magie et du ki, comme s’il voulait faire une référence ou un hommage à son rival : Masashi. Enfin, après un tel entraînement, peut-on réellement parler de rivalité ? Ouranos était maintenant bien plus puissant que Masashi sans aucun doute.

<< Je t’avais prévenu Usaï… Que ce bonobo ne serait pas de taille face à ma grandeur, ma volonté de puissance !!! >>

L'Ange Déchu Ourano26

Il regardait sa nouvelle puissance acquise, avec cela, son Absolute Telekinesis n’aura quasiment aucun désavantage, ayant assez d’endurance pour le faire pendant longtemps. Et quelle puissance ! Quelle puissance oui ! Mais… Toujours très loin du compte.



Ouranos le sait dès à présent, il aura beau dépasser ses limites, jamais il n’arrivera à rattraper la puissance de Usaï… Il lui faudrait le Makaïoken qu’il n’a pas… Et encore. Sa trahison, tout son plan, se jouera dans une sale attaque qui consistera à abattre ses alliés au moment où ils ne s’y attendent pas… Mais Usaï a trouvé un moyen de ne plus avoir besoin de faire attention… Il fallait pour Ouranos trouver une solution… Usaï était la cible à abattre, et d’ici l’attaque sur la planète Terre, il aura sûrement repris toutes ses forces. 

<< J’imagine qu’il n’arrivera pas à tenir bien longtemps la forme qu’il m’a dévoilé… Il va avoir besoin d’aide pour cela… Je vais devoir tuer tous les moucherons qui voudront le soigner. >>

Il regarda dans l’espace infini, à travers le hublot du vaisseau. Il savait que son plan était de la folie… Que tout allait s’arrêter peut-être en une attaque. Une seule attaque qui le pulvériserait… Comme cette fois où Usaï l'a sauvé in extremis.  Une mission impossible, quasi perdu d’avance. Mais malgré cela, il était excité à l’idée de se battre de cette façon.

<< À côté de la mort, c’est là où on se sent réellement le plus vivant. >>


Mais assez discuté, il était l'heure de sortir. 


Une minute en dehors de cette salle équivaut à six heures dedans, ou un jour à une année. On ne pouvait rester plus de quarante huit heures dans la salle. 

Dans le monde réel, quarante huits heures se sont passé environs. Mais combien de temps s’est-il passé dans l’esprit d’Ouranos ? Sûrement deux ans environs… Sans même qu'il s'en rende compte, il avait parfaitement assimilé sa nouvelle forme, sa forme d’augmentation. Mais plus il montait plus ça devenait compliqué de se contrôler. Il se dirigeait dès lors vers la sortie avant de pouvoir se reposer en paix avec lui-même et ses opinions, il allait enfin pouvoir se focaliser sur son plan, pour cela il allait avoir besoin de l’aide de Pesto… Et ça tombe bien, dans pas longtemps elle avait prévu de revenir pour réaliser ô combien il était devenu fort…
Mais au fond de lui, Ouranos se demandait quand même…

J’aimerais bien voir Frieza à l'œuvre… À sa puissance maximale. J’aimerais l’affronter. Pour voir à quel point je suis fou. La dernière fois, il ne m’avait rien révélé à propos de sa puissance… Maintenant, je suis curieux.

Il est mon Dieu. Et je lui préparai une habitation digne de lui. Mon Père le Dieu Tout-Puissant. Et je l’exalterais. Seigneur, donne-moi espoir. Triste est ce jour.
Des cendres il doit renaître pour qu’il se fasse juger.
Triste est ce jour. N’ai pas de pitié envers lui, doux maître de tout.

Jour de la colère, ce jour doit brûler l’univers pour qu’il n’en reste que des cendres.
Comme l’avait prédit ainsi de nombreuses civilisations.
Quel tremblement il y aura quand le juge viendra pour peser les crimes de chacun ?
Une fois les maudit confondus, et condamnés aux flammes cruelles de l’enfer, elle l’appelle à son destin car il est béni. Jour de larmes que celui-là : quand renaîtra de ses cendres l’homme coupable pour être jugé. Pourras-tu l’épargner, Dieu ? Nous offrirais-tu ce plaisir égoïste et subjectif ? Toi qui est censé être indulgent, rédempteur… pourras-tu le pardonner ? Donne-lui le repos ! Donne-lui le repos éternel ! Donne-lui le destin qu’il a choisi, celui auquel il a toujours été destiné, depuis le début de son existence… ET AINSI SOIT-IL !

Le sens vital de la vie n’atteint pas cette oreille fermée qui me garde à l’intérieur de son destin. De là, il semble que ce tympan fait de verre mince hurle de terreur pendant que le monde chante. Je commence à courir après quelque chose que je ne pouvais pas atteindre, c'est bruyant et j'ai peur. Je vole sans savoir comment en regardant la vie d’en haut.

Est-ce vraiment tout ce que je vois ? Un monde qui n'appartient à personne ? S'il y a un enfer magique et brillant, alors la vitrine est un line-up complet de moi dansant couvert de mon propre sang rubis. Cette vision fermée de la vie est dans une destination desséchée qui me garde enfermé à l'intérieur. De là, il semble que ce miracle fait de friction hurle de terreur alors que le monde se réjouit. Je vole sans savoir comment en regardant la vie d’en haut. Des choses ambiguës continuent de m'éloigner du sol.

Tout le temps s'est arrêté. Mon cœur vient de s'échapper. Il est bien trop tard.


Bientôt avalé par le monde parce que ce que j'ai tenté l'impossible. L'avenir cruel que je n'ai pas réussi à tuer fait encore battre mon pouls plus vite juste à côté et maintenant. C'est la fin. J'avais l'habitude de crier de tout mon cœur un adieu moqueur et tentant. Et il attend derrière moi maintenant. Je veux qu'il soit écrasé. La vérité que je veux vous dire bientôt mettra fin à ce rêve satirique. C’est vrai que je ne peux pas vous dire de sitôt parce que quand je rêve, il n’y a pas de peur. Laissez-moi simplement entendre les innombrables joies qui ont cessé. Ils empêchent mes os de trembler. Je ne veux pas réveiller la réalité.

Quelqu'un m'a sauvé. Courbes de sentiments. À partir de ce jour, j'ai peint un cercle terminé, je ne veux pas réveiller la réalité. Tout mentirait, s'enroulerait autour de mon oreille, de mon cœur et moi avec sa fausse fermeture.

Rappelez-vous juste, le moment avant que je sois tué par l'Archange Saint-Michel... 

Que c’était juste trop beau pour être vrai. Adieu.
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