Un corps sphérique traversait le vide spatial à une vitesse incroyable, quittant une planète rose dotée de trois lunes pour partir à la conquête de l’espace de son peuple. Horenso était le saiyen qui reposait au fond de cette capsule. Son sang ne faisait qu’un tour à l’idée d’enfant croiser les membres de son espèce lui qui avait été séparé des siens pendant toutes son enfance. Et surtout l’idée de combattre et conquérir lui plaisait énormément. Dans le peu d’espace qu’il disposait à l’intérieure sa queue ne faisait que frétiller d’impatience. Jusqu’à qu’il rencontre un problème. Le genre de problème qui change la quête de notre héro.

Un bruit se fit entendre, comme si quelque chose avait percuté la carcasse métallique de la capsule. Le son n’avait pas vraiment inquiété le jeune saiyen, il ignorait surtout comment fonctionnait ce genre de vaisseau, sur son monde la technologie était assez primitive même si cette dernière permettait d’explorer l’espace ou que le gouvernement disposait d’une technologie plus avancée grâce à de nombreuses alliances avec d’autres espèces assurant à la fois une alliance en cas de guerre interplanétaires, mais aussi la possibilités d’avancer plus rapidement technologiquement parlant.

Horenso haussa un sourcil surprit par un deuxième bruit de percussion contre la carcasse de la capsule, il ouvrit les yeux et à son plus grand malheur sa capsule se retrouvait au milieu d’un champs d’astéroïde, les chocs étaient de plus en plus nombreux et commençait même à dévier petit à petit le vaisseau de sa destination finale sans que le petit saiyen ne le sache, il espérait qu’aucun gros météore ne vienne réduire lui et son moyen de transport spatial en bouillit, la seule chose à faire était d’attendre que la tempête ne passe et prier pour pas se faire réduire en miette par une roche spatiale sauvage.


Le jeune saiyen n’avait pas remarqué que la trajectoire de sa capsule avait changée, il pensait toujours foncer vers la bonne direction jusqu’à remarquer qu’il approchait d’une planète assez étrange. Peut-être que ce monde était le berceau de son espèce ? Un grand sourire commença à se dessiner sur le visage du saiyen alors que son vaisseau se posait au milieu de ce monde inconnu.

« Me voilà planète Végéta. » Dit t-il doucement avant de sortir en s’appuyant sur les parois de son vaisseau. Scooter sur le visage, il analysa la planète et les puissances qui se trouvaient aux alentours, et fut très surprit de constater que beaucoup d’êtres faibles étaient sur ce monde. Son peuple était uniquement constitué d’être faible ? « C’est réellement mon peuple ? » S’énerva sur le coup Horenso qui commença donc à explorer les alentours de cette planète.

Après un court entraînement dans le vaisseau de Gray et de sa soeur saiyajin, je pris une navette et partit afin d'explorer un peu plus l'univers. Je voulais faire mes armes par moi-même et rester seule comme je l'avais souvent été. Dans la capsule, il y avait juste assez de place pour moi. De ce fait, je ne me sentais pas très bien à l'intérieur et j'avais hâte de me poser quelque part pour me défouler un tant soit peu. 


 

« Faible… Je ferais mieux de me défouler sur ces êtres infectes. Ils ne peuvent pas être les miens, ma capsule à du changée de trajectoire. » Se rassura alors le singe continuant d’avancer lentement au milieu de cette forêt assez massive qui peuplait la planète. S’approcher de ces formes de vie pouvait être une bonne option pour essayer d’en apprendre plus sur ce monde et comment trouver le sien. Ignorant qu’il avait été détruit. Les bases de la traque avait été enseigné par son mentor sur son monde adoptif. Caché dans un tas de feuille il observait ainsi un groupe de nomade passé juste devant lui, tirant derrière eux une énorme charrette chargée par une dizaine de rodin de bois.


Le singe restait en retrait pour observer ces créatures : « Ils n’ont rien avoir avec moi… Je me suis sûrement trompé de monde. » Se plaigna le singe décidant de passer à l’action quand soudain son scouter s’alarma, une nouvelle puissance commençait à s’approcher. Elle était beaucoup plus élevée que les autres. Elle était dans son dos. Le primate pivota et fixait dans son dos l’être caché.


« Tu peux sortir, je sais que tu es la. » Lâcha simplement le singe.