Django est un beau grand blond aux yeux bleu . Il affiche continuellement sur son visage au dessus de sa barbichette un large sourire, signe de son coté jovial . De longues dreads cascadent dans son dos, maintenues entre elle par un bandeau de couleur verte ou marron, si bandeau il n'y a pas elles tiennent très bien toute seule en les attachant entre elles .
Toujours habillée d'un style large et décontracté, il porte souvent un haut de couleur unique en accord avec son bandeau . Son pantalon est un grand pantalon ample au tissu très doux et léger pour l'été mais qui tient plutôt chaud en hiver .
A ses pieds se trouvent régulièrement des tongs de toutes les couleurs et de tout les styles, il s'agit la, avec ses sous vêtements, l'habit qu'il change le plus régulièrement, selon ses envies et le temps qu'il fait, et de comment les oiseaux gazouillent une nuit de pleine lune . Oui je taxe des mots avec des phrases très longues et des mots qui veulent rien dire mais c'est pour la bonne cause . Promis .
Comme bagage il possède une ample besace de couleur vert forêt ( comment ça tu visualise pas le vert forêt ? ) ou il garde son essentiel de voyage : capsules, tabac, thé, jeu de dés, bouteille d'eau et quelques autres trucs inutiles dont je vous passerais le listing .
Dans son dos est accroché un grand bâton d'1m50, son "arme" avec laquelle il se bat lorsqu'il veut économiser son énergie . Robuste bâton d'acier, il s'en sert tant d’appui que d'objet contondant pour casser des dents .

En somme Django est plutôt belle gueule pour sa race, mais sous son air de gars sympa faut pas trop lui chercher des noises, sinon il se fera un plaisir de vous montrer qu'il aime aussi se battre . Ça oui !

Django est quelqu'un que l'on peux qualifié de mec sympa ... ouais même très sympa . Si on devait lui assigner un alignement on pourrait dire qu'il est loyal bon, loyal con . Il ne rechigne pas à aider son prochain genre aider la vieille dame à traverser la rue ou latter un pickpocket en train de commettre ses méfaits !
Bon après les jours ou il a la flemme il va pas non plus aller aider la veuve et l'orphelin, la police aussi doit faire son job . Et puis faut pas pousser mémé dans les orties, non on l'aide juste à traverser la rue, mais la je me répète .

De nature joviale, c'est quelqu'un de plutôt poli, héritage de sa mère et de bon vivant, héritage de son père . Il aime bien rire, s'amuser et draguer les jolies nana, ça oui c'est un de ses sports favoris ( normal il a une belle gueule et il le sait ) . En gros il aime ce qui est bon en général .

Sous ses airs de sainte nitouche par contre faut pas venir le chercher, en effet malgré qu'il soit d'un naturel plus que patient si vous venez lui chatouiller les oreilles d'un peu trop près vous risquez d'en perdre vos chaussettes . J'ai déjà dit qu'il aimait défendre la veuve et l'orphelin ? C'est justement car il déteste les injustices, genre le plus fort qui fait du mal aux faibles, toussa toussa . Du coup qu'on s'en prenne à lui, bah il s'en fou un peu et il préfère éviter les combats inutiles mais quand on s'en prend à quelqu'un qu'est pas de sa taille à coté de lui alors la on le retient plus ! Sauf les jours de grande flemme bien sur .

Bref en gros Django vaut mieux lui offrir une bière plutôt que de lui coller une beigne .

Tout commença lors de la tragique nuit de son 8ème anniversaire, ce jour la un tyrannosaure monstrueux qui lançait des rayons laser avec ses yeux vint faire son jogging quotidien du coté du petit village de Django . Ce village était petit car il ne contenait qu'un seule maison, celle de la famille Touff' .
Alors que la famille était réunie au complet autour d'un pain rassi agrémenté de 8 bougies en cire d'oreille pour fêter l'anniversaire du petit Django le toit s'effondra soudain dut à la charge inconsidérée du tyrannosaure qui n'avait pas vu la battisse vu que lancer des rayons laser avec les yeux bah ça aveugle un tantinet . Le garçon fut le seul survivant du carnage ...

Naaaaaaaoooooooooooonnnnnn !!!! Mes parents que j'aimais tant !!! Tu vas payer lézard géant !!!

Django alors aveuglé par la rage décupla son Ki et réduisit l'animal en cendre à l'aide de son super chakra !!! Il tripla alors de volume, ses dents devenant tranchantes comme des rasoirs !!! Et puis après ... Et bien !!!! En fait rien, désolé pour tout ça je me suis emporté, toi qui a lu tout ceci je te félicite, passons maintenant à la vrai version de l'histoire !

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En fait pour tout vous dire Django eu une enfance plutôt tranquille, ses parents loin de se faire assassiner par un quelconque désastre cliché l'élevèrent dans la joie et la bonne humeur . Comprenez du coup qu'il n'y est pas grand chose à dire sur l'enfance heureuse du petit Touff' .
Il grandit dans une charmante maison proche d'une grande forêt un peu à l'écart du reste du village, son père étant le bucheron et menuisier de celui ci . Ouais la technologie c'est cool mais le bois c'est quand même la classe .

Son enfance se passe donc sans encombre, isolé ne voulait pas dire qu'il n'avait pas de copains, au contraire il en avait moult .

Bref sur cette note chaleureuse nous pouvons donc passer à la suite .


Maintenant que nous avons passé l'intro chiante nous allons pouvoir passer à la suite qui n'est pas forcément des plus captivantes non plus .
La vie suivait donc son cours chez les Touff' , Django maintenant agé de 14 ans s'instruisait avec assiduité dans son école . Il aimait beaucoup apprendre, découvrir de nouvelles choses sur leur monde si vaste . Et puis dans une société actuelle si l'on veut vivre sans trop de soucis il valait mieux faire de bonnes études pour décrocher un travail intéressant et pas trop crevant . Enfin c'était ce que sa mère lui disais souvent . Son grand problème malgré son envie d'apprendre était sa flemmingite aiguë, qui l'autorisé souvent à flâner peu importe la situation, s'évader dans son petit monde en s'imaginant la vaste terre qui s'étendait sous ses pieds .

J'aimerais bien découvrir un peu ce qu'il se passe ailleurs ...    

Un soir alors que sa mère lui racontait encore une énième fois combien elle était fière de ses résultats scolaires, Django ne put soutenir son regard plein d'espoir quand elle lui parlait de ce que pourrait être son avenir radieux . Son père, captant sa réaction, lui fit signe de dire ce qu'il avait à dire .

Django : Et bien en fait je n'ai pas trop envie de rester toute ma vie dans cette ville, j'aimerais pouvoir partir explorer notre monde quand j'aurais l'âge de la faire . Désolé maman mais rester au même endroit n'est pas ce que je m'imagine pour mon futur ...

Il n'osa pas la regarder en face, de peur de lui faire du mal alors qu'elle plaçait tant d'espoir en lui . Son père frappa du poing sur la table .

Père Touff' : Regarde ta mère dans les yeux quand tu t'excuse, elle ne t'a donc pas apprit la politesse ?

Le garçon releva la tête vers sa mère qui souriait malgré une petite larme qui lui coulait le long  de la joue .

Mère Touff' : Ce n'est pas grave mon chéri, cela a dut être difficile pour lui de nous avouer ça . Mais ne tant fait pas mon petit Django, ce qui compte pour moi c'est que tu réalise tes rêves, même si pour cela tu dois partir loin de nous . Après tout il faut bien que l'oiseau s'envole du nid un jour .

Django sourit à cette annonce et son père partit dans un éclat de rire en se tapant la cuisse .

Et bien mon garçon, c'est un bien beau rêve que tu as la . Le problème réside seulement dans ton attitude de mollusque et ton corps de têtard . Si tu veux parcourir le monde, et bien mon fils il va falloir te forger, car notre planète n'est pas si clémente pour les tir au flanc !

D'accord, je relève le défi, car après tout tu as raison . Le monde est plein de danger, et il faut que je sois prêt .

Très bien, dès demain nous iront rendre visite à l'académie d'art martiaux de la ville . On va voir s'ils peuvent faire quelque chose pour une brindille comme toi .

Il rit à nouveau en envoyant une petite claque dans l'épaule de son fils, celui ci tituba légèrement sur sa chaise suite à la tape amicale du grand bucheron . Il était vrai qu'il n'était pas très costaud . Mais la suite allait changer ça à jamais .


Ainsi donc commença l'éducation de Django aux rudiments des art martiaux, nous vous passeront mes chers lecteur un énième entrainement de ses arts car je n'ai pas envie de m'éterniser la dessus .
Le jeune homme passa ainsi 4 ans à forger son corps et son esprit, suivant les enseignement du maitre du dojo . Il était maintenant un grand gaillard solidement battit bien qu'il ai gardé sa taille svelte . Cependant il n'était pas le plus fort du dojo, en effet 5 autres élèves le surpassait largement sans compter leur maitre qui n'avait pas ce titre pour faire joli .
Un jour alors qu'il mordait encore une fois la poussière contre un élève bien moins battit que lui, il ne put s’empêcher de lui faire part de son incompréhension quand à l'issue similaire de chacun de leur match .

Kita : Pourquoi es ce que je te bas à chaque fois ? Et ben mon vieux la réponse est toute simple, tu ne vois vraiment pas ?

Non, désolé . J'ai beau avoir repassé nos duels dans ma tête à mainte reprise je ne vois toujours pas pourquoi tu arrive à chaque fois à avoir le dessus, et de loin .

Kita éclata de rire, non pas un rire moqueur mais plein d'amitié .

Et bien mon cher ami, il te faut voir plus loin que la simple force et endurance que tu as déjà acquis . Vois tu pour moi la meilleure manière de gagner est la ruse, et l'anticipation .

Ce ne sont pas vraiment des qualités d'un vrai combattant .

Ahah, détrompe toi ! Un gars très fort qui n'utilise pas sa tête sera toujours loin derrière moi . Si tu utilise ton cerveau en plus de tes muscles Django, tu deviendras sans nul doute un grand guerrier !

Cette conversation resta gravé dans la mémoire du jeune homme . 1 an plus tard, Kita quitta le dojo pour aller affronter d'autres spécialistes d'arts martiaux de par le monde, car tel était son rêve .Il n'avait jamais réussi à remporter un seul match contre lui mais Django avait suivit son conseil, et sa technique avait bien évolué . Si bien qu'un jour son père lui annonça une excellente surprise .

Fils, j'ai réussi à dénicher des places pour un évènement qui devrait te laisser sans voix .

Il laissa flotter le suspense jusqu'à sortir de ses poches tout sourire deux billets .

Les championnats du monde d'art martiaux, mes avis que tu devrais apprendre pas mal de choses en voyant comment ça se passe dans la cour des grands .

Django sauta au cou de son père pour le remercier, mais un détail attira son attention . Il n'y avait que deux billets . Quand il le fit remarquer à son père celui ci lui répondit d'un clin d'oeil .

Il y a des choses qu'un père doit faire seul avec son fils .

Chapitre 4 : Prise de conscience

De retour à la maison Django resta muet comme une tombe pendant des heures, au début le tournoi l'avait vraiment fasciné . Tellement de combattants et de techniques exhaustives à voir pour la première fois de sa vie . Mais la joie avait vite laissé place à une expression mêlée de déception et d'incompréhension .
Il avait vu le niveau qui le séparait du niveau mondial, et ce n'était pas "humain" ... Leur force, leur endurance, leur vitesse était au delà de tout ce qu'il avait put imaginé . Mais par dessus tout il c'était rendu compte que la force physique seule n'était rien .
En effet beaucoup de ces combattants maitrisaient des sortes de pouvoirs psychiques qui leurs permettaient moult choses incroyable comme voler dans les airs ou lancer des boules d'énergies ...

Il est comme ça depuis qu'on est partit du championnat . Il n'a pas dit un mot et semble en pleine réflexion . Je crois que le combat de niveau mondial lui a mit un petit coup à l'égo .

Son père et sa mère observaient leur fils en proie en un grand conflit intérieur assit sur le canapé du salon . Non pas que sa mère s'inquiétait pour lui, mais il était rare de le voir ne plus arborer son sourire qu'il avait pourtant souvent sur le visage . Et ce malgré les épreuves .

Je pense que tu devrais aller lui parler .

Le bucheron acquiesça et s'en alla rejoindre le jeune homme . Il s'assit à coté de lui sans rien dire, mais sa présence avait sortit Django de sa bulle . Celui ci tourna la tête vers son père, le visage grave .

Père . Il me reste un trop long chemin à parcourir . Et je crois que je vais partir d'ici plus tôt que prévu . Je dois perfectionner ce que j'ai déjà apprit, et ce n'est pas ici que ...

Le grand homme assit à ses cotés leva son immense main pour couper la parole à son fils . Il l'observa alors avec toute la tendresse du monde .

Django, je suis vraiment fier de toi . Pour ton le chemin que tu as parcouru jusqu'à présent . Cela fait un moment que ta mère et moi nous nous doutions que tu finirais par partir . Et je comprend tes raisons, mais fini au moins ce que tu as à faire ici, ne laisse jamais la précipitation guider tes pas .

Oui tu as raison, je partirais à la fin de l'année .

Ainsi le jeune homme qui avait maintenant presque 20 ans, après avoir fini son année scolaire et battu les derniers combattants du dojo qu'il n'avait jamais vaincu, partit en direction de la grande ville, la ou il pourrait en apprendre plus sur la fameuse énergie que ses spécialistes de haut niveau pratiquaient .